Meurs, Monstre, Meurs : Alejandro Fadel se joue des codes du fantastique

Cinq ans après son premier long-métrage Los Salvajes, l’Argentin Alejandro Fadel revient avec Meurs Monstre Meurs (Muere, Monstruo, Muere), présenté à « Un Certain Regard » à Cannes l’année dernière. Synopsis: Dans une région reculée de la Cordillère des Andes, le corps d’une femme est retrouvé décapité. L’officier de police rurale Cruz mène l’enquête. David, le mari de Francisca,…

Ta Mort en Short(s): démystifier la mort avec humour et légèreté

Ta Mort en short(s) réunit 6 courts-métrages aux univers absolument superbes et uniques pour approcher avec poésie, humour et nostalgie un sujet qui en requiert beaucoup : la mort. Au cinéma le 31 octobre, on retrouvera Pépé le Morse de Lucrèce Andreae. C’est l’histoire d’une famille en deuil de leur grand-père. La mère, ses 4 enfants…

La 9ème édition du Black Movie Summer Festival se dévoile et frappe fort !

La programmation du Black Movie Summer festival a été annoncée (en partie) et elle inclut les avant-premières de Blackkklansmann (Spike Lee), Sembene ! (Samba Gadjigo & Jason Silverman) et Necktie Youth (Sibs Shongwe-La Mer). Le Black Movie Summer Festival, créé en 2010 par l’association Black Movies Entertainment, revient du 14 au 19 août pour sa…

Call me by your name: un regard sur la vulnérabilité

We rip out so much of ourselves to be cured of things faster, that we go bankrupt by the age of thirty, and have less to offer each time we start with someone new. But to make yourself feel nothing so as not to feel anything: what a waste!! (…) Just remember our hearts and…

Le Bechdel Club de Fanny Hubert – Interview

La journaliste Fanny Hubert inaugure ce jeudi 21 septembre le Bechdel Club au cinéma Le Brady à Paris. Pour l’occasion, je l’ai rencontré sur le toit de la Cité de la Mode et du Design afin de discuter de ce projet et de la représentation des femmes au cinéma. Peux-tu nous donner les prémices de…

Les Grands Esprits d’Olivier Ayache-Vidal – review

Professeur agrégé de Lettres au lycée Henri IV à Paris, François Foucault, quarantenaire, vie dans le confort, aussi bien professionnellement que personnellement. Lorsqu’on lui force la main pour intégrer pendant un an un établissement REP + en banlieue parisienne, sa pédagogie, ses points de vue et son confort sont mis à l’épreuve. Avec Denis Podalydès…